TRANSPORTS
Au fil du séjour, nous avons pris successivement sur place l’avion, le train, le tuk-tuk, la voiture, le bus et le bateau.
- L’avion : à défaut d’être rentable financièrement, il permet un gain de temps considérable. C’est pour ça que nous l’avons utilisé à plusieurs reprises : nous avons pris un aller simple Jakarta-Yogyakarta et un A/R Denpasar-Labuan Bajo, sans oublier l’aller simple Labuan Bajo – Ende qui a été annulé à cause de l’éruption du Raung. Si on manque de temps et si on peut se le permettre financièrement, c’est un moyen de transport efficace.
- Le train : nous l’avons pris sur Java de Solo à Malang (durée 6h00), mais beaucoup le prennent depuis Yogyakarta après avoir visité les temples, et jusqu’à Probolinggo, près du Bromo : la durée excède alors les 10h00. Le trajet est agréable et permet de se reposer. Le train que nous avons pris de journée était à moitié vide en plein mois de juillet.
- Le tuk-tuk : pour les trajets courts en ville. Nous en avons usé et abusé à Solo et il s’est avéré à la fois pratique et dépaysant. Seul inconvénient mais pas le moindre : on a parfois l’impression que les voitures qui nous frôlent à vive allure vont nous couper en deux…
- La voiture : nous n’en avons pas loué et nous n’avons pas conduit en Indonésie, mais nous avons régulièrement cherché et trouvé des chauffeurs un peu partout qui se proposaient de nous emmener où nous voulions, sur un ou plusieurs jours. Nous négociions toujours le tarif ainsi que les différentes modalités avant le départ (prendre en charge, ou pas, les repas et/ou l’hébergement du chauffeur par exemple). Et sur le trajet Malang-Banyuwangi en deux jours et demi, nous avons payé à Slamet notre chauffeur le prix d’une journée supplémentaire pour son retour chez lui. Le prix : 750.000 rp par jour (x 3,5 jours donc) ; le prix un peu élevé était dû au fait que nous avions réservé ses services depuis la France par l’intermédiaire d’une amie qui nous l’avait chaudement recommandé. Avec tous les autres chauffeurs, nous avons par la suite toujours payé moins cher que ce tarif. En cas de location de voiture, il faut être très vigilant car les accidents sont fréquents et la règle qui s’applique souvent est celle selon laquelle celui qui paie est celui… qui a l’argent ! Donc en général : l’occidental. C’est un peu caricatural bien sûr, mais beaucoup de voyageurs le constatent régulièrement à leurs dépens. Enfin, attention à la conduite à gauche.
- Le bus : nous avons pris le fameux bus « express » de Ketapang (extrémité est de Java) à Denpasar (centre de Bali). Le trajet a duré trois heures avec une conduite pour le moins sportive (heureusement que les voitures d’en face se poussaient quand notre bus leur arrivait dessus…). La traversée en bateau entre les deux îles était incluse. Un moyen de transport très efficace en temps (voir ci-dessous : « quitter Java pour Bali »).
- Le bateau : outre la croisière dans le parc de Komodo, nous avons donc fait la rapide traversée entre Java et Bali (voir ci-dessous : « quitter Java pour Bali »).
JAVA
L’IJEN
→ Hébergement à Banyuwangi : Ketapang Indah Hotel
- Le prix : de 25 à 45 euros. Nous avons payé 37 euros/nuit la chambre double, petit déjeuner inclus. Jolie piscine face à la mer. Organisation du transfert à l’Ijen par la réception (attention : l’hôtel est situé à 2 heures environ du volcan). Adresse : Jl Gatot Subroto km 6, Indonesia 68421. +62 333 422280
→ Descendre au fond du cratère de l’Ijen
Il faut d’abord monter jusqu’à la crête du volcan. Une fois là-haut, la descente au fond du cratère est à faire absolument car le paysage semble irréel. Il faut néanmoins savoir que le chemin pour descendre (quinze minutes) puis remonter (trente minutes) est escarpé.
- Se faire guider au fond du cratère – On peut descendre au fond du cratère tout seul. Il suffit pour cela de bien regarder le chemin par lequel vont et viennent les mineurs. Néanmoins, il est fortement conseillé de demander à l’un d’entre eux de faire le guide. Les quelques euros que ça nous coûte représentent des heures, voire un ou deux jours de salaire pour eux. Il suffit de convenir du prix ensemble au moment de partir. Ils posent alors par terre leur panier double rempli de soufre et redescendent au fond du cratère en nous guidant.
- Prévoir un masque – La fumée de soufre, qui part dans toutes les directions au gré du vent, peut s’avérer incommodante : il faut donc prévoir dans ses bagages des petits masques à peinture. Ce n’est pas la panacée mais ça préserve un peu les poumons. Également, le summum est le vrai masque que louent certains mineurs pour pas cher : il comporte un filtre qui ne laisse en principe rien passer.
- Photos des mineurs – Les « photos volées », ici encore plus qu’ailleurs, sont à proscrire. Les mineurs sont souvent d’accord pour se faire saisir le portrait si on s’adresse à eux gentiment. Aucun d’entre eux ne m’a jamais demandé quoi que ce soit en échange, mais j’ai toujours donné un billet, c’est la pratique dans ce volcan. Ici ou ailleurs, je demande toujours l’autorisation de prendre les gens en photo mais je ne donne jamais rien en échange. Là, au vu de leurs conditions de travail, je n’ai pas hésité une seconde.
- Visites de nuit – Pour les plus courageux, il y a la possibilité de se rendre sur place au milieu de la nuit. Le but ? Observer de nuit, au fond du cratère, le soufre jaillir de terre un peu partout sous la forme d’une multitude de flammes d’un bleu métallique qui est paraît-il impressionnant.
LE BROMO
L’avantage de loger sur place est double : non seulement cela permet de se lever un peu plus tard au moment d’aller admirer le lever du soleil sur le Bromo, mais surtout, les hôtels du site bénéficient d’une situation exceptionnelle sur le rebord de la caldeira, face aux volcans.
Depuis la terrasse des chambres, on a ainsi une vue incroyable sur les volcans. Mais il vaut mieux réserver ces chambres à l’avance et idéalement, en demander une située en première ligne.
Concernant la nuit, la réputation de grand froid dont jouit le site n’est pas usurpée car les nuits peuvent être glaciales : alors qu’il fait si chaud le jour, les trois couches de couvertures fournies par l’hôtel, auxquelles nous avions ajouté nos propres duvets, ont à peine suffi à nous tenir au tiède.
Apparemment, certains hôtels sont avares en couvertures, il est donc fortement conseillé de s’en procurer avant l’arrivée de la nuit.
→ Hébergement : le Bromo Permai Hotel
- Le prix : à partir de 30 euros.
- Réserver tôt – Nous avons payé assez cher, 53 euros/nuit la chambre double, petit déjeuner inclus, car nous avions réservé un peu tard : certains hôtels étaient déjà complets et dans celui-là, les chambres les moins chères étaient déjà toutes réservées.
Adresse : JL Cemorolawang – Ngadisari – Bromo Probolinggo 67254. Tél : +62335541021
→ Restauration – Outre la cuisine des hôtels, à deux pas de là on peut dîner dans un warung, l’un de ces minuscules restos locaux où l’on mange une cuisine simple mais plutôt bonne, et où l’on peut rencontrer des gens du coin qui ne demandent qu’à discuter. Il suffit de sortir de l’enceinte des hôtels pour en trouver un.
→ Bon à savoir – Si la vue sur le Bromo et les volcans voisins est féérique au lever du soleil, elle est un peu gâchée par la foule nombreuse qui se presse dans la zone aménagée d’où l’observation a lieu. Il y a une alternative consistant à arrêter le 4×4 un peu en contrebas et à traverser le peu de végétation qu’il y a là, pour se retrouver à peu près seul face aux volcans. En cas de doutes, on peut demander l’aide de l’hôtel ou du chauffeur pour nous indiquer ces endroits-là.
BOROBUDUR
Pour assister au lever du soleil depuis le sommet du temple de Borobudur, il faut avoir passé la nuit dans l’un des deux hôtels situés dans son enceinte : l’un est presque luxueux, l’autre est… carrément hors de prix ! Certes, ce principe mercantile n’est pas des plus plaisants mais le spectacle en vaut tellement la peine qu’il ne faut pas hésiter à le faire si on peut se le permettre.
Hébergement : le Manohara Hotel
→ Le prix : à partir de 100 euros. Nous avons payé 67 euros/nuit la chambre pour deux, petit déjeuner inclus mais depuis, les prix n’ont cessé d’augmenter. Le prix du ticket d’entrée au temple, situé à moins de cinq minutes de marche, est compris dans celui de la chambre.
Adresse : Komplek Taman Visata – Ji Badrawati – Borobudur, central Java, 56553. +62 293 788131

Autrement, il y a toujours la possibilité d’arriver dès l’ouverture du temple au grand public, à 9h00. La lumière continue un peu d’enjoliver le temple et le gros de la foule n’est pas encore arrivé. Mais l’aube est tellement unique en ce lieu sacré, face aux volcans…
LA PLANTATION MARGO UTOMO
Comment y aller ?
En voiture : la plantation est située à Kalibaru, sur la route sud qui va du Bromo à l’Ijen (en passant par Jember). C’est une halte idéale entre les deux volcans.
Hébergement : Margo Utomo Eco/Agro Resort (à Kalibaru, Java est : à ne pas confondre avec le Margo Hill View Resort, qui fait partie du même groupe et situé non loin).
→ Le prix : 34 euros/nuit la chambre double, petit déjeuner inclus. Le jardin exotique est luxuriant et particulièrement agréable. Comble du bonheur pour les enfants : il y a une grande piscine au milieu de la végétation tropicale.
Adresse : Jl. Lap. No.10, Kalibaru Kulon, Kalibaru, Kabupaten Banyuwangi, Jawa Timur 68467. Tél +62 333 897700

→ Visite de la plantation – Il existe deux façons de faire le tour de la plantation (« Aroma tour – Spice gardens ») : la visite guidée d’une heure et celle de deux heures. Nous avons choisi celle d’une heure, qui a duré finalement presque le double grâce à la guide très disponible.
→ Restauration – Nous avons dégoté un délicieux warung sur la route qui traverse la ville (en sortant de l’enceinte de la plantation, prendre le chemin à gauche, puis tourner à droite au premier croisement ; en arrivant un peu plus loin sur la route principale qui traverse la ville, le warung est situé à une centaine de mètres à gauche). C’est délicieux et ça ne coûte qu’une poignée d’euros pour quatre repas, le patron chinois est accueillant et comme dans tous les warungs, nous y avons fait des rencontres très sympas.
QUITTER JAVA POUR BALI
A Ketapang, sur la côte est de Java, un bateau part pour Bali toutes les 30 minutes, 24h/24. La traversée dure une demi-heure environ.
→ Le bon plan : à deux pas de l’embarcadère de Ketapang, on peut aussi prendre le bus dit « express » pour Denpasar (Bali). Le billet du bateau est inclus et ce bus porte bien son nom tellement il est rapide. Durée du trajet : 3 heures en tout.
FLORES ET LE PARC MARIN DE KOMODO
Comment s’y rendre ?
En avion : on peut rejoindre assez facilement Flores depuis les autres îles du pays grâce à ses deux principaux aéroports : Labuan Bajo à l’ouest (c’est la « porte d’entrée » du Parc Marin de Komodo) et Maumere à l’est. Mais l’île compte également des aéroports plus petits au centre : Ende et Masumeli.
En bateau : comme dans tout archipel, les ports sont nombreux et les connexions maritimes inter-îles sont fréquentes. Pour Flores, on peut joindre l’utile (le voyage pour s’y rendre) à l’agréable (la découverte du superbe parc de Komodo) en faisant une croisière, par exemple depuis Lombok.
Le petit aéroport de Labuan Bajo est situé non loin de Labuan Bajo. Les hôtels viennent en général chercher gratuitement leurs clients à la descente de l’avion, à condition de le leur avoir demandé à l’avance. Sinon, il faut prendre un taxi pour le court trajet : pas la peine de négocier le prix (modique), ils font tous payer le même tarif.
Labuan Bajo
Hébergements :
→ Golo Hilltop Hotel : de 32 à 40 euros (nous avons payé 37 euros/nuit la chambre double, petit déjeuner inclus). Situé comme son nom l’indique sur une colline, il a de faux airs de luxe avec sa petite piscine et sa vue sur la baie de Labuan Bajo.
Adresse : L Binako, Labuan Bajo, Komodo, Labuan Bajo, Komodo, Flores, Nusa Tenggara Tim. 86554. Tél +62 385 41337
Lorsque l’éruption du Raung empêcha notre avion de décoller de Labuan Bajo, il nous fallut trouver un autre hôtel dans la ville pour la nuit suivante, le Golo Hilltop affichant alors complet. Le personnel nous emmena gratuitement en voiture chez un concurrent, bien que situé à l’autre bout de la petite ville ! Suffisamment rare pour être signalé.
C’est à la fois pour cette gentillesse des employés, pour la propreté, pour les jardins fleuris, pour la piscine ainsi que pour le bon rapport qualité-prix de cet hôtel, que c’est une excellente adresse.
→ Luwansa Beach Resort Hotel : de 40 à 70 euros la chambre double. C’est l’hôtel que nous avons trouvé à l’arrache lorsque nous nous sommes retrouvés bloqués à Labuan Bajo, à cause de l’éruption du Raung. L’hôtel est très propre, il dispose en théorie du wi-fi (en pratique, la connexion est régulièrement interrompue). Il dispose d’une piscine qui donne sur une longue plage déserte. La zone de restauration extérieure mais couverte par un chapiteau est très agréable, ainsi que le personnel.
Adresse : Macang Tanggar, Komodo, West Manggarai Regency, Nusa Tenggara oriental. +62 385 244 3677
L’île de Kanawa
Kanawa Beach Resort : la réservation des bungalows est désormais accessible par Tripadvisor, Booking.
→ Prix : à partir de 58 euros/nuit le bungalow double, selon la saison.
« Adresse » : Kanawa Island, Komodo, 86554, Indonésie. Infos hôtel : 01 57 32 46 83 –
→ Snorkeling – L’excellent spot de snorkeling à tortues et à requins pointe noire est situé à hauteur des derniers bungalows, côté gauche de la plage quand on est face à la mer. Partout ailleurs sur le récif corallien de l’île, on peut observer une multitude de poissons tropicaux : poissons-coffres, poissons chirurgiens, poissons-clowns, raies pastenagues à pois bleus etc. Il y a également, dans les herbiers jouxtant le ponton, quelques tout petits serpents marins rayés.
→ Plongée– Le club avec lequel nous avons plongé, Uber Scuba Komodo Dive Center, est situé à Labuan Bajo (Jala Soekarno Hatta, Komodo National Park, Labuan Bajo, Komodo, West Manggarai Regency, East Nusa Tenggara 86554). Tél : +62 813 3961 9724. Le spot cinq étoiles à raies mantas, accessible depuis Kanawa avec ce club de plongée, s’appelle Mawan.
→ Restauration – Il faut savoir que Kanawa a quand même son talon d’Achille : le restaurant. La qualité est moyenne, la variété de la carte est nulle et le service est démesurément long : jamais moins de 45 minutes, même quand on est les seuls clients !
Heureusement, le resto est posé sur la plage et le joli cadre aide à patienter : on a les pieds dans l’eau et rien n’empêche d’aller piquer une tête en attendant les plats… Mais nous avons croisé plusieurs personnes particulièrement exigeantes qui n’ont pas supporté ce rythme pourtant typique des îles.
Ce resto, qui ne comporte aucune alternative pour manger (excepté celle de rejoindre Labuan Bajo située à 1h30 de bateau, sachant qu’il y a un bateau par jour…) constitue selon nous le seul inconvénient de Kanawa.
→ Bungalows – Nous avons également croisé quelques personnes qui pestaient contre l’état des bungalows. Alors soyons clairs : ce n’est pas le grand luxe malgré le prix, et ceux qui ont l’habitude de voyager dans des hôtels plus ou moins confortables n’y trouveront clairement pas leur compte. A l’inverse, ceux qui aiment voyager à la roots trouveront les lieux presque luxueux ! Nous, nous avons adoré.
→ Conclusion – Pour résumer, Kanawa est une petite merveille pour les amoureux de farniente, de baignades dans des eaux turquoise, de snorkeling, de paysages îliens et de douceur de vivre. Sur ces points-là, l’île faisait d’ailleurs l’unanimité auprès de tous ceux que nous avons rencontrés, y compris ceux qui râlaient contre le resto ou les bungalows. Simplement, il ne faut pas être trop exigeant en matière de confort et surtout de nourriture.

Lembor
Hébergement :
En arrivant à Lembor depuis Labuan Bajo, petit homestay après l’entrée du village sur la droite. Au niveau propreté et hygiène, les conditions sont presque identiques à celles dans lesquelles vivent les locaux.
→ Prix : 7 euros/nuit la chambre double. Très roots.
Parc de Komodo : croisière privée ou à frais partagés ?
→ Sur le port : on n’a que l’embarras du choix du bateau. Mais contrairement à beaucoup d’autres endroits dans le monde, personne ne vient harceler les voyageurs pour leur vendre ses services. Alors on peut choisir tranquillement au feeling en discutant avec les capitaines des bateaux.
→ Si on privatise la croisière, le prix est plus élevé mais on est alors plus autonome. Si on la chartérise avec d’autres voyageurs de passage, le prix baisse sensiblement. Il faut alors négocier clairement le prix à payer par chacun avant le départ, mais également le programme, afin d’éviter ensuite les mauvaises surprises. Il faut enfin se renseigner avant le départ sur les modalités telles que le couchage, les repas etc.
→ Nos contacts : Sofyan et Ali – On me demande souvent les coordonnées de Sofyan. Hélas, il en a changé et je ne les ai donc plus. Toutefois, voici comment vous pouvez joindre Ali Sehidun, le propriétaire du bateau commandé par Sofyan lorsque nous avons fait notre croisière : Komodo Travel (contact@komodotraveller.com). C’est à Ali qu’appartenait également la voiture avec chauffeur avec laquelle nous avons visité l’ouest de Flores, lorsque l’éruption du Raung nous a empêchés de prendre notre avion pour le Kelimutu et les Lio. Ali s’est toujours montré extrêmement sympathique et serviable, et nous avons pu négocier sans difficulté le prix de la voiture. Il est fort possible qu’il confie toujours l’un de ses bateaux à Sofyan. Sinon, même avec un autre capitaine, la croisière dans les eaux du parc de Komodo restera magique…
→ Le prix de la croisière privée : nous avons payé 350 $ pour 3 jours et 2 nuits en croisière privée (nous étions les seuls clients à bord). Pour les budgets plus modestes, il ne faut pas hésiter à chartériser la croisière avec d’autres voyageurs : on n’est pas les seuls à bord mais les sites visités sont les mêmes.
→ Mal de mer – Pour les habitués au mal de mer, une solution miracle : Nausicalm.
Dragons : Komodo ou Rinca ?
90 % de la population de dragons vit sur Komodo et Rinca. Toutes les personnes que nous avons rencontrées en Indonésie nous ont dit la même chose : il est de plus en plus difficile d’apercevoir des dragons sur Komodo, alors que c’est très fréquent sur Rinca (pas systématique, mais très fréquent). C’est donc sur cette île qu’il vaut mieux se rendre pour avoir le plus de chances d’en voir.
Car même si la fréquentation de Rinca a tendance à augmenter, on ne s’y bouscule pas pour autant. On a vraiment l’impression de se trouver en pleine nature sauvage.
Rinca est aussi connue pour héberger de grosses mouches qui piquent. Nous l’avions lu et n’y avions guère prêté attention mais à peine avions-nous débarqué sur l’île que Marie se faisait piquer au niveau du pied. La piqûre de cet insecte a beau être sans danger, elle n’en est pas moins douloureuse. C’est pourquoi les visiteurs qui se rendent sur Rinca et qui, contrairement à nous, suivent les conseils qu’on leur donne, portent des pantalons et des tee-shirts manches longues…
A lire : L’Indonésie renonce à fermer l’île de Komodo aux touristes mais augmente les prix…
BALI
Hébergements :
→ Melati View Hotel : 10 à 40 euros (nous avons payé 34 euros pour 4 tout inclus : petit déjeuner, taxes et frais de service). Situé à Kuta, non loin de l’aéroport. Ce petit hôtel, qui a été difficile à trouver, comporte une étonnante piscine intérieure, minuscule mais rafraîchissante. Le restaurant est très bon.
Adresse : Jalan Kartika Plaza, Gang Melati No. 1, Kuta, Kabupaten Badung, Bali 80361. Tél +62 361 766 656.
→ Radiant Hotel and Spa : 13 à 40 euros (nous avons payé 43 euros pour 4 tout inclus : petit déjeuner, taxes et frais de service). Chambres spacieuses extrêmement propres, piscine extérieure, personnel très serviable, situé à proximité de l’aéroport et de la plage (15-20 minutes à pied)… Un hôtel presque luxueux à un prix très abordable.
Adresse : Jl. Puri Grenceng No.46, Tuban, Kuta, Kabupaten Badung, Bali 80361. Tél +62 361 935 2106
→ Quelques sites internet utiles
Site de l’office du tourisme : office du tourisme Indonésie
Autres sites internet d’infos : info indonésie (en français) et Indonesia tourism (en anglais)
Épopées d’Asie est une agence de voyages qui sort des sentiers battus. Tenue par un couple franco-indonésien, elle organise des périples originaux et mémorables en Indonésie ainsi que dans une bonne partie de l’Asie.
Les autres étapes de notre périple d’un mois en Indonésie :
→ Les temples de Borobudur et Prambanan (Java-centre)
→ Les volcans actifs : le Bromo (Java-centre) et l’Ijen (Java-est)
→ La plantation Margo Utomo (Java-est)
→ Une croisière de rêve d’île en île, les dragons de Komodo et les villages de pêcheurs isolés (Parc marin de Komodo)
→ L’île de Flores (en limite du Parc marin de Komodo)
→ L’îlot paradisiaque de Kanawa (Parc marin de Komodo)
→ Bali, l’île des Dieux
Notre carnet de voyage détaillé
- Résumé vidéo (2 mn) – Volcans, temples, petits villages de pêcheurs, îles paradisiaques : l’Indonésie dans toute sa splendeur…